lundi 29 octobre 2007

La chute viendra t elle d'Outre Atlantique?


Reflexion à la suite des nombreuses bourdes de Sarko l'américain.

Les États Unis, tant décriés par les français, pourrait ils être le pays qui nous débarrasse de notre nabot dictateur? C'est une possiblité à ne pas exclure vu que depuis quelques mois, Sarko accumule les erreurs avec la presse américaine, pourtant très favorable.
En quittant le plateau de CBS, lorque la journaliste se tente à une question sur son (désormais) ex épouse, Sarko rajoute une perle au colliers de bourdes qu'il a accumulé ces derniers mois. Entre les interviews refusées, les journalistes mal traités, les préjugés racistes à l'ONU... Cela commence à faire beaucoup, en attendant la semaine prochaine et son voyage à Washington.
Je n'admire pas la presse américaine mais il faut lui reconnaitre un bon point: elle ne fait pas relire les interviews avant publication (pratique systématique dans la presse nationale mais à laquelle se plie certains félons de la presse locale et régionale). Là bas, tout est "on", et l'attaché de presse de la personne interviewé ne vous envoie pas la version publiable deux jours plus tard.
Le problême c'est que N.S aime avoir la presse à ses pieds, le petit doigt sur la couture du pantalon. Plus de questions qui dérange, tout est chapotté par David Martinon, le monsieur com' de l'Elysée. Les récalcitrants se voient affliger d'un "No comment" (en anglais dans le texte), quand ils ne sont pas reconduits à la porte manu militari.
Les États Unis aiment les à coté, tout ce qui se passe mais que l'on ne raconte pas (je ne dirai jamais que j'ai eu l'occasion de boire une bierre avec Marc Vampa à la terrasse du Bourbon, avant d'aller interviewer Morin)... Bref tout le contraire de Sarko.
On peut imaginer que les journalistes vont en avoir marre d'être pris pour des guignols et un beau jour, ils pourraient décider d'être offensifs. On se souvient de leur tact et de leur finesse quand il s'agit de détruire une personalité publique (ex: Bill Clinton). Dans ce cas, ils pourraient être tenter de mettre leur nez dans les casseroles sarkozienne: une aventure qui pourrait lui être très préjudiciable.
L'autre solution est qu'ils décident de squizzer tout simplement la France, laissant dans l'ombre les évènements français: une décision dont pourrait souffrir les entreprises et l'économie française...
Soyons réalistes, la presse américaine ne provoquera malheureusement pas de "Water Gate".

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