L'une des conférences portait sur l'usage d'Internet au service des libertés fondamentales. Espace de mobilisation, Internet est aussi une source d'information contradictoire. Elle réunissait des membres d'associations d'aide aux immigrés et des syndicalistes.
Les travailleurs sociaux étant asphyxiés par les demandes et l'information subissant la déformation médiatique, il a fallu trouver de nouvelles solutions pour les associations. Pour beaucoup Internet s'est avéré rapidement incontournable.
Lucille Prado du DIEM vient en aide aux sans papiers. Dans son temps de parole, elle insiste sur l'anonymat que l'outil permet. Pour des personnes en grande précarité, le site permet d'obtenir une première série d'information sans se faire connaitre. Le web brise les frontières géographique, le site peu être consulté depuis l'étranger ou bien des personnes résidant en province peuvent faire appel aux services du DIEM, petite association francilienne. Les permanents de l'association sont aussi moins consulté. Malgré tout un site reste un outil très chronophage et une personne se consacre à plein temps à la maintenance web (site, newsletter, mails...).
Marc Fromentin (GISTI) et Bastien Sibille (Disparitions) insisteront par la suite sur la qualité de l'information diffusée. S'ils jugent que l'information institutionnelle sur le net (Legifrance...) est plutôt de bonne qualité, ils déplorent son accessibilité. Ils sont particulièrement compliqué à l'usage. Le GISTI souhaite proposer une expertise explicite compréhensible par tous d'où un effort de vulgarisation et d'explication demandé à tous les rédacteurs du site. L'objectif de la Cimade en créant le site Disparition était que "constatant un manque de mémoire sur la disparition des personnes sans papiers, l’association a voulu se doter d’un outil permettant de retrouver une trace de l’arrestation de ces derniers, ainsi que leur histoire personnelle dans l’espace public numérique." Les rédacteurs pointent toutes les arrestations de sans papiers sur Google Map en écrivant quelques lignes sur la vie de la personne arrété. Le site "a pour objectif une prise de conscience collective de ce qui se passe dans le voisinage de tout un chacun."
L'information que ces sites proposent est en décalage avec celle proposée par les mass médias, du fait que sur un sujet sensible (les immigrés clandestins), ils ne relayent pas la vision étatique
Les travailleurs sociaux étant asphyxiés par les demandes et l'information subissant la déformation médiatique, il a fallu trouver de nouvelles solutions pour les associations. Pour beaucoup Internet s'est avéré rapidement incontournable.
Lucille Prado du DIEM vient en aide aux sans papiers. Dans son temps de parole, elle insiste sur l'anonymat que l'outil permet. Pour des personnes en grande précarité, le site permet d'obtenir une première série d'information sans se faire connaitre. Le web brise les frontières géographique, le site peu être consulté depuis l'étranger ou bien des personnes résidant en province peuvent faire appel aux services du DIEM, petite association francilienne. Les permanents de l'association sont aussi moins consulté. Malgré tout un site reste un outil très chronophage et une personne se consacre à plein temps à la maintenance web (site, newsletter, mails...).
Marc Fromentin (GISTI) et Bastien Sibille (Disparitions) insisteront par la suite sur la qualité de l'information diffusée. S'ils jugent que l'information institutionnelle sur le net (Legifrance...) est plutôt de bonne qualité, ils déplorent son accessibilité. Ils sont particulièrement compliqué à l'usage. Le GISTI souhaite proposer une expertise explicite compréhensible par tous d'où un effort de vulgarisation et d'explication demandé à tous les rédacteurs du site. L'objectif de la Cimade en créant le site Disparition était que "constatant un manque de mémoire sur la disparition des personnes sans papiers, l’association a voulu se doter d’un outil permettant de retrouver une trace de l’arrestation de ces derniers, ainsi que leur histoire personnelle dans l’espace public numérique." Les rédacteurs pointent toutes les arrestations de sans papiers sur Google Map en écrivant quelques lignes sur la vie de la personne arrété. Le site "a pour objectif une prise de conscience collective de ce qui se passe dans le voisinage de tout un chacun."
L'information que ces sites proposent est en décalage avec celle proposée par les mass médias, du fait que sur un sujet sensible (les immigrés clandestins), ils ne relayent pas la vision étatique
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